Etiopathe / Ostéopathe
Fabien SCHULZE
Etiopathe /Ostéopathe
Reconverti à l’age de 33 ans pour reprendre des études en STAPS (2 ans) à l’UPS Paul Sabatier (Toulouse) j’ai enchaîné sur une année de perfectionnement au CREPS de Toulouse. Durant ces 3 années, j’exerçais en alternance dans les centres de remise en forme ainsi que dans les associations sur Toulouse et sa périphérie.
Ma sensibilité du bien-être mais surtout de la santé m’ont rapprochés des thérapies paramédicales. Pour en avoir testé à titre personnel, l’étiopathie s’est révélée efficace et seule à répondre à un besoin immédiat!
C’est alors que l’ensemble des coachings et autres prises en charges de la personne m’ont permis d’établir un relationnel avec cette profession afin d’apporter le meilleur soin qui s’impose: « Une réponse adaptée à un instant donné dans une optique systémique et prophylactique! ».
C’est alors que j’ai poursuivi tout naturellement mes études en me formant durant 6 années à la Faculté d’étiopathie de Toulouse. Durant ces périodes, j’ai pu exercer lors de différents événements sportifs et culturels (Festivals Blues Passion à Cognac, Championnat d’Europe d’ultimate, Trails, etc…) mais aussi lors de partenariats avec différentes salles de sports (L’orangeraie, Crossfit Colomiers, Airbus AISA), ce qui m’a permis de me perfectionner.
J’ai achevé mes études avec un Diplôme Inter-Universitaire en Bio-Mécanique de l’appareil locomoteur & du mouvement à Purpan
Actuellement, je suis chargé de cours d’anatomie générale à la Faculté d’Étiopathie de Toulouse et j’ y enseigne également la biomécanique rachidienne.
J’interviens auprès de divers établissements (Université Toulouse III Paul Sabatier STAPS et diverses associations comme GV sport Santé & Airbus).
Bientôt ostéopathe D.O., je continue à me former en micronutrition.
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L’Étiopathie est une méthode nouvelle d’analyse des pathologies.
Fruit de plus de vingt ans de recherches de Christian Trédaniel, qui participa aussi quelque temps aux débuts de l’ostéopathie française, l’Étiopathie lui doit également son nom. Le terme d’ostéopathie était devenu à ses yeux trop flou car regroupant trop de pratiques différentes, toutes fragmentaires et restreintes à un nombre de pratiques manuelles plus ou moins limité. Surtout, l’ostéopathie n’était pas à même de se doter de l’outil intellectuel nécessaire à atteindre l’objectif que Trédaniel s’était fixé : établir une véritable généalogie des pathologies.
Du grec aïtia « cause » et pathos, « souffrance », le terme « Étiopathie » entend bien souligner l’originalité de cette méthode qui, face à une pathologie, s’attache en priorité à en déterminer la cause plutôt que d’en supprimer directement les effets — douleurs, inflammations, blocages, etc. — car pour l’Étiopathie, seule la suppression de la cause empêchera l’effet de se (re)produire. Il s’agit là d’une approche fondamentalement différente de celles des autres méthodes existantes qui, pour la majorité, suppriment souvent ces mêmes effets visibles et mesurables, mais, ne remontant pas à leur véritable origine, exposent les patients à de nombreuses rechutes.
Ainsi, cette méthode nouvelle d’analyse des pathologies cherche à identifier le processus causal à partir des phénomènes présentés par le patient, avec l’aide des connaissances actuelles en anatomie physiologie et clinique. Cette méthode est exclusivement manuelle, donc sans médicaments. Le raisonnement étiopathique permet aux praticiens étiopathes de soigner eux-mêmes de nombreuses pathologies courantes, tout comme elle leur permet de réorienter immédiatement un patient, dans les cas où d’autres méthodes sont requises, vers le traitement adapté.
COMMENT RAISONNE L’ÉTIOPATHIE
Le raisonnement étiopathique, quant à lui, va au-delà de la seule partie atteinte et permet d’identifier l’origine de la perturbation et de comprendre ce qui l’a causée.
Cette analyse causale est possible parce que le corps humain est cette fois appréhendé et étudié comme un ensemble de systèmes et de sous-systèmes en interaction permanente, à la fois entre eux et avec le milieu qui les entoure. C’est ce qu’on appelle l’approche systémique du corps humain.
C’est sur cette approche qu’a été élaborée la méthode étiopathique, méthode qui permet entre autres d’appliquer la cybernétique à la physiologie humaine. C’est sur elle que se fonde la formation rigoureuse et originale que reçoivent les étiopathes. C’est elle, enfin, qui permet à l’étiopathe d’identifier l’origine des symptômes, et dans une majorité de cas, car les pathologies provocant des atteintes irréversibles sont heureusement rares, d’appliquer le geste pertinent qui supprimera leur cause.
Originale …
La méthode étiopathique inaugure une façon originale d’appréhender les pathologies humaines. Elle permet d’élargir le champ d’action des traitements manuels, jusqu’alors principalement circonscrit aux affections articulaires et musculaires, et traite de nouvelles pathologies avant elle inaccessibles aux interventions manuelles, tels que les troubles fonctionnels, circulatoires, gynécologiques, digestifs et ORL.
Bénéficiant des apports récents de la biomécanique, de l’anatomie et de la physiologie, ses techniques ont pu évoluer vers une meilleure précision, gage de sûreté et d’efficacité.
… mais traditionnelle
Inscrite dans une démarche d’efficacité et de bon sens, l’Étiopathie a recueilli l’héritage de pratiques qui ont fait leurs preuves depuis des siècles sur les articulations et les viscères notamment. Suite à leur encadrement méthodique et à leur mise en perspective épistémologique, elle permet aux praticiens d’aujourd’hui de soulager efficacement, durablement et sainement, leurs patients.
Si les étiopathes travaillent avec leurs mains et non avec l’assistance de la pharmacologie, c’est que la logique et l’expérience réunies ont montré que dans certaines affections, l’alternative manuelle permet souvent l’amélioration des souffrances du malade.
COMPLÉMENTAIRE DE LA MÉDECINE CLASSIQUE
Même si sa méthode lui permet de repousser les limites de son champ d’investigation, l’Étiopathie circonscrit en permanence son champ d’intervention.
Fidèle aux principes de rigueur et de transparence qu’elle s’est elle-même fixés, l’Étiopathie réservera toujours ses interventions à un nombre précis de pathologies, parfaitement décrites et accessibles, et dont le nombre progresse encore grâce à la recherche fondamentale et au développement de sa méthode.
Vouée aux pathologies fonctionnelles, elle intervient en particulier là où les thérapies médicamenteuses peuvent s’avérer surdimensionnées, voire porteuses de dommages collatéraux tels qu’effets secondaires, accoutumances, inefficacité, etc.
L’Étiopathie ne saurait guérir les maladies dégénératives, ni soigner les graves affections microbiennes qui nécessiteront toujours des antibiotiques, et encore moins se substituer à la chirurgie, dont elle reste la modeste illustration non instrumentale. Dans tous ces cas, un étiopathe réoriente immédiatement son patient vers le médecin compétent.
Néanmoins, dans certains cas bien précis, elle peut aussi intervenir de façon complémentaire pour des maladies sortant de son domaine d’application et qui relevant d’un traitement médical substitutif ou palliatif. Les possibilités dont envisagées au cas par cas, sans contrevenir au traitement établit.
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L’OSTÉOPATHIE POUR TOUS
L’ostéopathie est une méthode de soins qui s’emploie à déterminer et à traiter les restrictions de mobilité qui peuvent affecter l’ensemble des structures composant le corps humain. Toute perte de mobilité des articulations, des muscles, des ligaments ou des viscères peut provoquer un déséquilibre de l’état de santé.
Fondée sur la capacité du corps à s’auto-équilibrer, l‘ostéopathie nécessite des compétences spécifiques, une connaissance approfondie du fonctionnement du corps humain et des interactions entre chacun de ses systèmes. Elle permet de prévenir et de soigner de nombreux troubles physiques et agit également aux plans nerveux, fonctionnel et psychologique.
Après un interrogatoire et un examen approfondi des bilans radiologiques et biologiques du patient, l’ostéopathe va précisément déterminer les indications et contre-indications de sa thérapie.
Grâce à des tests de palpation spécifiques, l’ostéopathe explore le corps à la recherche des zones qui présentent des restrictions de mouvement susceptibles d’altérer l’état de santé. Les mains de l’ostéopathe vont chercher, trouver et rétablir l’harmonie de l’ensemble des structures perturbées dans leur mobilité.
L’ostéopathie repose sur trois concepts originaux:
- La main comme outil d’analyse et de soin
- La prise en compte de la globalité de l’individu
- Le principe d’équilibre tissulaire
Adaptée à chaque patient, en fonction de son âge et de sa morphologie, l’ostéopathie apporte sa contribution à la femme enceinte tout au long de sa grossesse, aux nourrissons, aux enfants, aux adultes, aux personnes âgées et aux sportifs, professionnels ou amateurs.
Son innocuité, son action préventive et son effet curatif ont cependant des limites et l’ostéopathie ne prétend pas tout soigner.
Elle intervient en complément de la médecine allopathique et ne propose pas de traiter les maladies cancéreuses, dégénératives, génétiques, infectieuses ou mentales, ni les fractures et luxations orthopédiques.
L’OSTÉOPATHIE ET LE SPORT
L’ostéopathie trouve tout son sens chez les sportifs car elle permet à la fois de faire disparaître les douleurs crées par la pratique sportive, mais également de prévenir les blessures en donnant les moyens au corps de fonctionner de manière optimale. L’ostéopathie permet également d’augmenter les performances pures en veillant et en préservant le fonctionnement optimal des articulations et des muscles qui les mobilisent.
L’ostéopathie permet:
De manière préventive, de retarder l’apparition des blessures ( poulies, tendinites, épaule bloquées, diminution de la force, douleurs articulaires, microtraumatismes ,entorses, etc). Autant de facteurs diminuant les performances.
De manière curative, de récupérer au plus vite un fonctionnement physiologique du corps humain et une biomécanique optimale, et donc de faire disparaître les douleurs
En préparation sportive, augmenter les performances pures, en optimisant le fonctionnement biomécanique du sportif, le fonctionnement musculaire, la souplesse articulaire etc…
Une récupération accrue, en cas de consultation post activité sportive, gage de meilleures performances pour la suite
Il est maintenant de notoriété publique que des sportifs de haut niveau et équipes sportives professionnelles se font suivre régulièrement par des ostéopathes D.O. pour optimiser leur performance.
De plus, l’ostéopathe, en expliquant à son patient l’origine de ses douleurs, le fonctionnement biomécanique, les gestes à faire et à ne pas faire, lui permet d’acquérir le bon « mode d’emploi », gage d’une meilleure efficacité et d’une diminution des blessures. Il évitera ainsi les mauvais gestes futurs et utilisera au mieux « la machine ».
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QU’EST-CE QUE LA MICRONUTRITION ?
LA MICRONUTRITION, UNE APPROCHE DE LA NUTRITION MÉDICALISÉE ADAPTÉE À CHACUN
La micronutrition consiste à satisfaire les besoins en micronutriments de l’individu par une alimentation diversifiée, associée si nécessaire à une complémentation personnalisée. Elle trouve ses fondements dans les recherches effectuées sur les liens avérés entre alimentation, santé et prévention.
La micronutrition s’intéresse à l’impact des micronutriments sur la santé et vise à optimiser le statut en micronutriments de l’organisme de manière individualisée. Elle choisit donc de regarder les précieuses molécules qui se trouvent dans notre assiette et la façon dont notre organisme les utilise. Elle prend toute sa dimension aujourd’hui avec une alimentation qui se caractérise par l’augmentation de l’apport calorique au détriment de la densité en micronutriments. C’est ce qu’on appelle d’ailleurs « les calories vides ».
es MICROnutriments : des composés MEGAimportants
Schématiquement, on retrouve dans nos aliments : des macronutriments qui fournissent l’énergie et la force nécessaires à l’organisme. Ce sont les lipides, les glucides et les protéines. Mais également des micronutriments qui ne jouent aucun rôle énergétique mais dont le rôle est fondamental pour le fonctionnement de l’ensemble des métabolismes. Ce sont les vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides gras essentiels mais aussi les flavonoïdes, acides aminés, probiotiques, etc. Tous ces éléments donnent la valeur nutritionnelle de l’assiette.
LA MICRONUTRITION, UNE APPROCHE « PRO » SANTÉ
L’industrie pharmaceutique a développé des médicaments qui sont très efficaces sur des symptômes ou sur des maladies installées : les antibiotiques, les anti-inflammatoires, les antidépresseurs, des “anti-tout”, qui certes sont actifs, mais ne participent pas à la régulation des perturbations physiologiques. L’organisme ne se défend pas qu’avec des “anti” mais aussi avec des “pro”. La micronutrition permet de répondre aux agents stressants auxquels l’organisme est perpétuellement confronté.
Quels sont les postulats ?
Chacun est unique : nous n’avons pas le même métabolisme, ni les mêmes besoins. Il faut partir de l’individu et de son état de santé, et pas seulement de son assiette. Il est intéressant d’adapter l’alimentation d’un individu à son profil personnel. Une alimentation, même équilibrée, peut ne pas répondre de manière adaptée aux besoins spécifiques d’un individu.
Quels sont les champs d’application ?
Ils sont nombreux et s’intéressent à de nombreuses situations en consultation ; à titre d’exemple, on peut citer : les troubles du fonctionnement digestif : assimilation des aliments [1], confort et transit digestif [2], allergies [3], intolérances, problèmes de perméabilité intestinale [4] ;
la prévention du surpoids, l’accompagnement du traitement du surpoids et de ses complications cardiométaboliques ;
les troubles de l’humeur et du sommeil [5] ; les troubles du comportement alimentaire [6] ; le sevrage tabagique [7] ;
l’alimentation santé : comment adapter son alimentation pour son bien-être quotidien et sa santé à long terme [8] ;
la lutte contre le vieillissement et les maladies dégénératives [9] ;
la nutrition du sport : optimiser les performances sportives, la tolérance à l’entraînement et la récupération [10] ;
la prévention des maladies cardiovasculaires et du syndrome métabolique [11] ;
la nutrition préventive de l’ostéoporose et des états de fragilité [12].
LA MICRONUTRITION, UNE DÉMARCHE VOLONTAIRE, UN ACCOMPAGNEMENT MÉDICAL
La micronutrition s’attaque de manière précise aux micro-carences. En effet, les vitamines, oligoéléments, fibres, acides gras essentiels, flavonoïdes, sont autant d’éléments indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Un déficit en micronutriments a des répercussions directes sur le bien-être et l’état de santé.
De plus en plus de professionnels de santé (médecins, pharmaciens, diététiciens,etc.) se sont formés à cette discipline médicale, à un moment de leurs parcours pour élargir leurs possibilités de prise en charge.
Le micronutritionniste identifie les manques et propose une réponse nutritionnelle adaptée : le conseil alimentaire peut ainsi s’accompagner d’un conseil de compléments nutritionnels, véritables concentrés de tous ces éléments essentiels. L’objectif est de rétablir l’équilibre de l’organisme et d’améliorer le bien-être à long terme.
LES 4 PRINCIPES DE LA MICRONUTRITION
- Chacun est unique : nous n’avons pas le même métabolisme, ni les mêmes besoins ;
- Une prise en compte de l’individu et de son état de santé, et pas seulement de son assiette ;
- Une adaptation de l’alimentation d’un individu à son profil personnel ;
- Une alimentation, même équilibrée, peut ne pas répondre de manière adaptée aux besoins spécifiques d’un individu.